L'avenir pourrait être simple, évident et beau pour notre civilisation planétaire, en supprimant au maximum les toxiques chimiques (métaux toxiques, pesticides, perturbateurs endocriniens...) dans nos aliments, notre eau, notre air, nos cosmétiques, nos médicaments... en faisant des choix grâce à des informations fiables dans un premier temps, et une régulation constructive dans un deuxième temps... en s'orientant par ailleurs vers une nourriture digne de ce nom, simple et nutritive, en réduisant au minimum les aliments qui n'apportent rien à la santé et/ou dont beaucoup de personnes deviennent intolérantes, tels que les sucres complexes (incluant le saccharose/sucre de table, les céréales, certains laitages et féculents).. Tout ceci permettrait au corps d'avoir la meilleure prévention pour grandement limiter les produits toxiques induisant de très nombreuses maladies chroniques et dégénératives (diabète, obésité, infertilité, maladies neurologiques, problèmes cardio-vasculaires, cancer, maladies auto-immunes...), utiliser au mieux son pouvoir naturel de détoxication, réparer la plupart du temps tout seul les organes qui dysfonctionnent, car la nature est bien faite et elle a des millions d'années d'entraînement à ce sujet, le corps pouvant fonctionner de manière optimale avec les bons nutriments quand on le sort de cette orgie toxique dans lequel il s'est enlisé et qu'il ne peut plus surmonter, au-delà d'une certaine limite, pour un nombre d'humains croissant exponentiellement... La médecine traditionnelle, qui répare et traite souvent seulement les symptômes, est toujours utile pour un certain nombre de maladies, mais aujourd'hui les autres médecines, en particulier environnementale et nutritionnelle qui sont très peu développées et qui préviennent les problèmes de santé, nourrissent et détoxiquent le corps, sont la solution évidente et nécessaire pour la plupart des problèmes de santé et les milliers de générations futures sur terre. L'utilisation positive des connaissances, un autre modèle économique et financier, une certaine philosophie de vie, le sentiment de vivre sur une terre qu'il faut utiliser rationnellement et partager équitablement, devraient nous permettre d'éviter l'écroulement de la civilisation humaine et de converger vers un monde serein, et d'être peut-être la première civilisation dans la voie lactée ou plus loin qui aura compris le sens des valeurs et de la vie pour un bel avenir sans fin...
Francis Balestra est né en Provence en 1960. Il a gardé de cette jeunesse dans un village provençal un lien fort avec la nature et un émerveillement devant sa beauté, qui s'est amplifié au cours des nombreux voyages qu'il a pu faire dans le cadre personnel et professionnel, en tant que chercheur au CNRS. Il se rappelle comme si c'était hier d'une anecdote au milieu des années 90 quand il a passé quelque temps au Japon, lors d'un pique-nique sous un majestueux cerisier japonais en fleur au printemps. Une dame française avait cueilli une toute petite fleur de ce cerisier, ce qui avait choqué la dame japonaise qui déjeunait avec nous car elle considérait cet acte comme étant une atteinte à cette beauté de la nature. Ceci m'avait montré qu'un pays très technologique pouvait garder une proximité et un attachement fort au cadre naturel qui s'est développé pendant des centaines de millions d'années sur terre et est nécessaire à la vie. Francis est aussi très attaché aux relations humaines qui sont à la base de la société, qui dérive malheureusement vers un individualisme exacerbé au lieu de mettre en avant les valeurs de solidarité, d'empathie et d'altruisme qui sont fondamentales pour toute société durable. Un futur basé sur les connaissances développées de par le monde, leur utilisation pour le développement de technologies responsables, utiles et non nuisibles à la société ainsi que leur diffusion, ainsi qu'une bonne philosophie de vie, ce qui est très loin d'être le cas aujourd'hui, devrait permettre à notre civilisation de ne pas sombrer vers le néant et de converger vers un bel avenir sans fin. Francis Balestra a écrit plusieurs livres scientifiques et un précédent roman intitulé "La tendresse des galaxies".
